Swinde Wiederhold
Swinde, notre conseillère de vente, se prépare pour une expédition de trekking de plusieurs semaines à travers la région du Khumbu au Népal. Près de 4000 mètres de dénivelé et des températures extrêmes l’attendent sur un parcours redoutable. Dans cet article, elle te présente l’équipement qu’elle a utilisé pour son trek jusqu’au camp de base de l’Everest.
Notre conseillère de vente Swinde a eu besoin de nombreux équipements pour son trek au Népal. Dans cet article, elle te présente notamment les chaussures qui lui ont permis de maintenir une foulée légère, ainsi que les gants qui ont maintenu ses mains au chaud tout en lui permettant de manipuler son appareil photo et son smartphone. Si toi aussi tu prépares ta prochaine aventure et souhaites t’équiper en conséquence, sache que nous offrons la possibilité de composer ton équipement avec l’aide d’un conseiller ou d’une conseillère d’achat dans nos magasins de Bâle, Berne, Lucerne et Zurich Europaallee. Avec le service de Shopping personnalisé gratuit, tu t’assureras de ne rien oublier.
Mais revenons-en au trekking au Népal.
Lorsque je me suis mise à la recherche de la paire de chaussures parfaite, j’ai dû faire un choix: d’une part, je voulais avoir une foulée légère sur les sentiers rocailleux, d’autre part, je savais que des passages de col à haute altitude m’attendaient, notamment le pic Lobuche Est à 6119 mètres, et que j’aurais également besoin d’une bonne adhérence.
Rapidement, j’ai compris que je ne pouvais pas avoir le beurre et l’argent du beurre. J’avais besoin d’emporter deux paires de chaussures différentes.
La plupart du temps, je randonnais avec les TX4 de La Sportiva, des chaussures de randonnée équipées d’une membrane Gore-Tex. J’ai ainsi pu adopter une foulée vive et légère et, pendant le trek, il m’est arrivé de doubler quelques randonneurs équipés de lourdes chaussures de haute montagne. Je n’ai eu que peu de mauvais temps pendant mon séjour au Népal, mais les rares pluies ont été torrentielles.
Pour les passages difficiles de cols et de sommets, j’ai opté pour les Nepal Cube, des bottes de randonnée également fabriquées par La Sportiva. Cramponnables, étanches à l’eau et avec un bon soutien de la cheville, il s’agit néanmoins d’un modèle très léger pour des chaussures de ce type.
Pour le trek jusqu’au camp de base de l’Everest, il m’a été conseillé avant mon départ de prendre un sac à dos de jour d’un volume entre 20 et 30 litres. Étant photographe et ayant besoin de transporter un appareil photo volumineux et plusieurs objectifs, cela ne m’aurait pas suffi. Pour cette aventure vers le plus haut sommet du monde, j’avais également besoin d’une doudoune, d’une bouteille d’eau, d’en-cas et de jumelles dans mon sac à dos.
J’ai donc opté pour un sac à dos d’Ortovox d’un volume de 42 litres. La fermeture à glissière sur le pourtour est tout simplement géniale pour accéder rapidement au compartiment principal. Cela me permettait de trouver ma bouteille d’eau, mon téléobjectif ou ma veste de pluie en quelques secondes seulement.
Grâce aux sangles de compression, le sac à dos peut être réduit à un format minimal. Si tu ne le remplis pas complètement, l’espace inoccupé disparaît alors comme par magie.
L’accès à l’eau potable est un autre sujet important lorsque l’on prépare un trek au Népal. Plus tu montes en altitude, plus ton corps a besoin d’eau. Une bonne hydratation est donc primordiale. Certes, il est possible d’acheter de l’eau en bouteille dans les lodges disséminés le long des sentiers. Mais si tu souhaites voyager de manière plus durable et plus écologique, je te conseille d’utiliser un filtre à eau portable.
Mon choix s’est porté sur le microfiltre Quickdraw de Platypus. Il est si petit et léger que j’ai pu le garder à portée de main, dans la poche ventrale de mon sac à dos, tout au long du trek.
Pour garder mes doigts au chaud tout en étant capable de presser les boutons de mon appareil photo et de mon smartphone, j’avais besoin de gants polyvalents. Les Shelter Glove de Mammut ont été la solution à ce dilemme. Ces moufles coupe-vent disposent d’une extrémité amovible que tu peux défaire au moyen d’un bouton-pression dès que tu as besoin d’un peu plus de dextérité.
Si, comme moi, tu as une mauvaise circulation sanguine à l’extrémité de tes doigts et que tu attrapes des engelures rapidement, tu auras ainsi la possibilité de garder tes gants toute la journée.
(Avec la TransaCard toujours gratuit)